Bandes dessinées

Se souciait-on vraiment de la nature?

Creative Commons (CC) BY-ND 4.0

© University of Luxembourg


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ROBERT SOISSON

Robert Soisson est né le 11 novembre 1950. Après l’obtention de son Abitur, il
a étudié la psychologie à Heidelberg. Il a travaillé jusqu’à la retraite comme
psychologue au sein de la cellule scolaire de conseil psychologique à Esch.
En parallèle, il était (et est encore) membre de nombreuses ONG nationales
et internationales dans les domaines des droits de l’enfant, des assistances
éducatives extra-familiales et de la réforme scolaire. Il est marié et a deux
enfants adultes. Il a dessiné ses premières caricatures pour un journal scolaire
très populaire ainsi que pour diverses publications étudiantes de gauche au
Luxembourg et à Heidelberg, puis pour des magazines et publications issus
du milieu socio-éducatif. Ensemble avec Roger Leiner, il a publié deux bandes
dessinées sur le thème des droits de l’enfant.

Lieu
Luxembourg

Focus artistique
Humour, reportage critique, pertinence

 

Contributions à LUX:plorations:
Se souciait-on vraiment de la nature ?

Pourquoi avez-vous participé à LUX:plorations ?
« En tant que président de CartoonArt.lu, je voulais promouvoir l’idée des sciences en bande dessinée auprès de nos membres. »

Qu’avez-vous le plus aimé dans LUX:plorations ?
« L’idée du travail d’équipe entre scientifiques et artistes. »

Quel a été votre plus grand défi ?
« Le plus grand défi a été l’ajustement précis entre mes idées et celles des scientifiques. »

Gilles Evrard Essuman(C)
GILLES EVRARD ESSUMAN

Mon travail de recherche porte sur les économies alternatives et l’innovation sociale. J’étudie le processus d’innovation sociale dans les initiatives communautaires locales en Europe, dans la perspective de la décroissance.

Axe de recherche
Innovation sociale & économies alternatives

Affiliation
Department of Geography and Spatial Planning (DGEO)
University of Luxembourg

 

Contributions à LUX:plorations:
Se souciait-on vraiment de la nature ?

Pourquoi avez-vous participé à LUX:plorations ?
« Pour apprendre à communiquer des idées de recherche complexes de manière simple, ludique et accessible au grand public. »

Qu’avez-vous le plus aimé dans LUX:plorations ?
« Le processus de co-construction entre chercheurs et artistes. »

Quel a été votre plus grand défi ?
« Simplifier mon texte sans perdre le message principal et l’essentiel. »

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TOBI OLADIRAN

 »Je mène actuellement des recherches sur les défis de durabilité des fonds communs de placement. »

Axe de recherche
Durabilité

Affiliation
Department of Finance
University of Luxembourg

 

Contributions to LUX:plorations:
Se souciait-on vraiment de la nature ?

Pourquoi avez-vous participé à LUX:plorations ?
« Pour apprendre à communiquer mes travaux scientifiques à travers la bande dessinée. »

Qu’avez-vous le plus aimé dans LUX:plorations ?
« La structure des cours. »

Quel a été votre plus grand défi ?
« Le temps. »

Veronika_Mischitz(C)
VERONIKA MISCHITZ

Biologiste de formation, Veronika Mischitz (Véro) s’est convertie en conteuse visuelle. Depuis plus de dix ans, elle crée des bandes dessinées (sur la science) pour différents clients et enseigne la magie de son art à des enfants et des adultes. Animée par la curiosité et par sa capacité d’émerveillement, elle aime explorer des territoires inconnus, apprendre de nouvelles choses et transformer ces nouvelles connaissances en histoires fascinantes. Elle est experte pour LUX:plorations

Domaine de travail
Communication visuelle, narration, bandes dessinées scientifiques

 

Contributions à LUX:plorations:
Modern Talking
Keeping up With the Bacteria
Se souciait-on vraiment de la nature?
Perte d’orientation
Des BD sur la science?
A Furry Tale
A Gut Feeling
Les aventures de Tuwwo la molécule d’eau
Les maths, la magie et Maryam

Pourquoi avez-vous participé à LUX:plorations ?
 »En tant qu’artiste de bande dessinée et communicatrice scientifique, LUX:plorations est pour moi un rêve devenu réalité : un groupe d’experts très motivés, issus de domaines variés, qui unissent leurs forces pour créer des bandes dessinées scientifiques exceptionnelles ! »

Qu’avez-vous le plus apprécié dans LUX:plorations ?
 »Travailler avec des participants motivés, ouverts et attentifs ainsi qu’avec des membres de l’équipe issus de différents domaines de recherche a été incroyable. La créativité et l’inspiration ont jailli de nos efforts communs alors que nous explorions ensemble de nouveaux outils et compétences. »

Quel a été votre plus grand défi ?
 »Assurer une attention et un soutien continus pour tous les participants était extrêmement important pour moi et plus difficile dans un cadre en ligne. Mais je pense que toute l’équipe a fait un excellent travail à ce niveau. »

SUPERVISOR

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SERGE HAAN

Serge Haan est professeur de chimie biologique au Département des sciences de la vie et de la médecine (DLSM) de l’Université du Luxembourg. Ses recherches au sein du Molecular Disease Mechanisms Group portent sur les mécanismes moléculaires des maladies associés au développement et à la métastase du cancer colorectal : comment les cellules cancéreuses développent une résistance aux traitements et comment elles interagissent avec leur microenvironnement ? Son grand intérêt pour la communication scientifique auprès du grand public l’a conduit à fonder le projet DESCOM.

Axe de Recherche
Mécanismes moléculaires des maladies, signalisation cellulaire

 

Contributions à LUX:plorations:
Un Ome pour les gouverner tous
Se souciait-on vraiment de la nature ?
Au cœur d’un panneau solaire
A Gut Feeling

Pourquoi avez-vous participé à LUX:plorations ?
« J’aime réfléchir à la manière de simplifier des contenus scientifiques complexes pour les rendre compréhensibles. C’est en réalité un défi amusant et je considère que c’est un devoir pour une université de s’adresser au grand public. »

Qu’avez-vous le plus aimé dans LUX:plorations ?
« La dynamique de l’équipe entière est excellente. Tout le monde est extrêmement motivé et nous travaillons tous vers le même objectif. »

Quel a été votre plus grand défi ?
« Le travail à distance sur un processus aussi interactif, avec de nombreuses discussions autour des détails graphiques, était un défi. Cependant, cela a finalement bien fonctionné. »

ACADEMIC SUPERVISOR